Attend... [ Libre]

Il était tard et Joy venait de finir son service, il était environ 1h00 du matin. Elle aait pris ses affaire et c'était diriger vers le métro pour pouvoir rentrer chez elle. Il fesait nuit noir, personne n'était dehors a par un bande de jeune , elle passa rapidement devant eux et entendit quelque sifflements mais elle n'en tint pas compte. Elle marchait d'un pas lent et regardait tout autour d'elle. Sa ne lui plaisait pas spécialement de se promener la nuit mais elle n'avait pas vraiment le choix car elle ne possedait pas de voiture et donc son seul moyen de pouvoir rentrer chez elle est de prendre le métro.

Elle arriva pres du métro, elle avait quelque minutes d'avance alors elle alla s'asseoir sur l'un des bancs. A son grand étonnement il n'y avait absolument personne , se qui l'étonnait c'est que meme a cette heure il y avait souvent des gens qui prennait le métro, enfin bref... Elle posa son sac pres d'elle et attendit. Elle entendait de temps en temps des bruits de pas de personne approchant puis repartant. Elle comencait legerement a être faiguer elle posa sa main devant sa bouche et poussa un long baillement. Elle frotta ses yeux pour y voir plus clair puis continua d'attendre. Sa n'était pas spécialement son genre d'être patiente. Elle finit par se lever et faire les cent pas, puis elle se r'assis.

Elle tourna legerement la tete quand elle entendit quelqu'un approcher. Il fesait assez sombre elle ne pouvait donc apercevoir qu'une silhouette. Elle se dit automatiquement que c'était une personne qui elle aussi allait prendre le métro au moin elle ne serais pas seule. Elle écoutait les bruits de pas se rapprocher de plus en plus. Dans quelque nstant elle pourrait voir la personne car elle s'approchait de la lumiere. Elle ne savais ni si c'était une femme ni si s'était un homme. Elle esperait seulement que sa ne soit pas un clochard qui vienne lui reclamer de l'argent car sa lui était arriver un bon nombre de choix et sa ne s'était pas toujours bien passer.

Au premiére abord l'homme qui arrive a presque l'air d'un vagabon, cheveux long, barbe de trois jour, vétements débraillé. Mais avec un second regard il s'avére que ses cheveux sont soyeux et brillant, sa barbe taillé nette et précis, et ses vétement si orinaux avec cette chemise ouverte, ses jean, cette cravate volontairement mal noué et ce chapeau noir, sont en réalité de trés bonne facture et trés bien entretenue.

En regardant le sol Arthur s'avance sur le quai, perdu dans de sombres pensé. Il vient de revenir ici le temps d'un voyage éclair pour récupérer des affaires avant d'aller dans le Texas, histoire de changer d'air. Et perdu dans son esprit il ne remarque pas tout de suite la jeune femme qui l'a regarder avec un peu d'angoisse a son arrivé. Mais aprés quelques secondes a regarder ses chaussures il releva finalement la téte et remarqua enfin la jolie demoiselle et avec un sourire lacha un "bonjour" plein de bonne humeur. Aprés tout ce n'est pas souvent que l'on croise une belle fille comme celle ci dans les métros, et même si elle a l'air un peu intrigué elle ne semble pas lui vouloir le moindre mal, alors autant étre poli. Et puis avec les gréves du transport le prochain métro n'étant pas prés d'arrivé autant faire un petit brin de causette:

"vous ne trouvez pas agacant que les métro ne soit jamais a l'heure dans cette ville, même a des heure tardive ou l'on préférerait étre au chaud avec un bon bouquin, pelotenné dans son lit, plutot qu'a devoir suporté la conversation d'un inconnue dans mon genre ?"

Il souriait amicalement, un sourire discret mais contagieux, renforcé par se regard amusé et ironique, avec une petite étincelle dans l'iris ambré. Apparament elle a l'air fatigué et il se doute bien qu'il a raison au moin sur le point du lit. Pour le reste c'est au petit bonheur la chance de savoir si il a raison ou tort. En attendant la réponse de la jeune femme il s'assied et observe pensivement les rames. C'est peut ètre la derniére fois qu'il prend se métro, puisqu'il s'en va habiter la ou il est née. Mais qui sais si des affaires ne le ramménerons pas ici aprés tout...ou la fuite ?

Apres quelques secondes d'attente Joy put enfin voir le visage de la personne qui approchait dans sa direction. S'était un homme, un homme plutot charmant d'ailleur. Quand il se fut approcher il adressa un "Bonjour" a Joy et avec un leger sourire elle lui repondit.

- Je dirais plutot Bonsoir, non ?

Leur moyen de transport n'était toujours pas arriver et il commencait a se faire attendre. Apparement cet homme lui aussi commencait a se lacer de devoir attendre et n'aimait pas les retards du métro. Joy ne put s'empecher de sourire quand il lui posa une question, elle fit mine de reflechir pendant quelque seconde et finit par lui repondre toujour avec le meme sourire legerement amusé.

- En effet, c'est assez ennuyeux de devoir attendre le métro qui est en retard et oui je prefererait me trouver dans mon lit ! Mais...parfois sa n'est pas toujours mauvais de faire des rencontres ... sa depend de la personne sur qui on tombe !

L'homme c'était maintenant assis et observait les rames du métro. Joy ne dis rien de plus, elle aussi posant son regard quelque part, pllonger dans ses penssés mais elle avait bizarrement envie de parler alors elle se dit qu'il fallait mieu continuer de parler plutot que de rester attendre sans dire le moindre mot, sa serais un silence un peu trop lourd a son gout. Elle reprit donc la parole.

- Vous aussi vous rentrez chez vous ?

C'était une question peut-etre un peu indiscrete mais apres tout pas tant que sa alors elle la posa.

"bonsoir déja ? Sa doit vraiment faire trop longtemps que je suis sous terre, je commence a perdre la notion du temps."

IL haussa les épaules. En effet il était rentré dans les soutterains lorsque le soleil était encore haut, avait érrer en tentant de rassemblé ses idées, et ses projets. De la lui était venu cette idée de retourner enseigné la ou il avait perdu les soi disant meilleurs années d'une vie.

IL la regarda a sa seconde remarque et son visage fin ne perdit pas son sourire

"oui, tombé sur un marginal sans but qui erre dans les soutterains pour trouver de quoi se payer alcool et drogues n'a rien d'engageant. Mais si il s'agit d'une demoiselle avec un sourire pétillant, alors sa met un peu de soleil sous le sol, c'est plutot agréable."

Il n'y avait rien de lourd ou de trop directe dans son ton, bref pas de drague, juste un compliment gratuit, sans arriére pensé, et toute a fait sincére.

Finalement aprés étre rester en face d'elle le temps de se introduction au dialogue, il alla s'adosser au mur carrelé, a sa droite. Il était assez prés d'elle pour qu'elle sente légérement son parfum, ambré et épicé, avec une légére touche de canelle.

Il fourra les main dans ses poches et en sortit un paquet de cigarette de marque Black Devil vanillées, puis il le tendit a la jeune femme:

"je sais que c'est mal et que sa peut tuer, mais une de temps a autre...et puis tant qu'a étre enfermé sous terre autant ne vraiment pas respirer non ?"

De la main qui ne proposais pas il avait agilement prit une gigarette dans le paquet, l'avait glissé entre ces lévres fines, et avait saisie son zippo métallique.

"elles son parfumé a la vanille, tout aussi mortel, mais légérement meilleur au gouts, enfin différent d'ailleur."

il ne lui manquerai plus qu'une biére et un bon bar et sa serai une soirée des plus agréable, si ce n'est se petit meurtre. Il profita qu'elle se décide pour répondre rapidement a sa question:

"oui, mais mon chez moi c'est le monde. la je vais voir ce qui se passe dans le Texas, c'est mon jardin."

Joy continua d'afficher un sourire legerement amuser par le compliment que venait de lui faire cet homme. il avait l'air plutot sympathique que sa soit physiquement ou dans sa facon de parler. Apres quelque instant il sortit un paquet de cigarette et en proposa une a Joy.

- Euh..Non merci je crois que j'ai eu ma dose pour se soir...

Elle reflechit un instant puis l'écouta dire qu'elle était parfumée a la vanille, sa l'avait d'alleur un peu étonner que cet homme fume des cigarette de ce genre.

- ...Finalement j'en veux bien une , je ne suis plus a sa pres .. j'ai passer la moitié de ma journée dans un nuage de fumée a servir de pauvre ivrogne assoifés enfin bref...

Elle prit la cigarete que lui tendait l'homme puis sotit un briquet de sa poche et l'alluma. L'homme lui repondit ensuite en lui disant que le monde était sa maison, se qui la fit sourire.

- J'aimerais pouvoir dire la meme chose que vous ! Au moin vous vivez avec de l'espace moi j'ai la grande chance d'être dans un deux piece minable ! ...Bon je vais peut-etre arreter de vous bassiner avec ma vie ...

Joy revait de pouvoir etre libre et de pouvoir aller ou elle veut quand elle veut mais elle ne s'en sentait surement pas capable, peut-etre était elle trop attacher a ses habitude. Tous sa commencait a la lasser serieusementPuis elle lui tendit une main un peu rapide.

- Au fait , je m'appelle Joy !

Sa ne lui arrivait jamais de se presenter aussi rapidement a un inconnu mais elle le trouvais plutot sympa et ne ressentait aucune crainte a son egard.

" ha justement il faut soigner le feu par le feu, si tu a baigner dans la fumé, fume, sa ira mieu...bon évidament on va pas fumé tout le paquet en cinq minute."

Dans un geste rapide et précis, accompagné d'un cliquetis métallique, il ouvre, allume, ferme le zippo. ¨Puis avec un geste lent il tire une premiére bouffé, laisse aller sa téte en arriére, garde la fumé dans ses poumons quelques secondes, puis relache la fumé en s'amusant a faire des ronds, qui s'élévent avant de disparaitre

"une cigarette sa se savoure, je n'en fume qu'une tout les deux jours, pour ne pas perdre le plaisir qui se remplace par laccoutumance."

Il secoue la téte et hausse les épaules

"bref tout cela ne sont que divagation de vieux."

elle décrit son appartement et avec un ton amusé il dit

"je voit, sa doit étre la placard a balai de ma maison."

Il ne se moque pas, mais ne semble pas conscient réellement de la nullité de cette blague. Lorsqu'elle prétend le bassiné avec sa vie il secoue légérement la téte en signe de négations:

"vous me bassineriez que je me serais déja jeter sur ces rails pour ne plus entendre un seul mot. Et puis si on ne peut plus raconter a un inconnue qui vous offre une cigarette, bref un assassina a long terme, alors a qui le peu-t-on ?"

Elle lui tendit sa main fine et manicurée, et il la serra doucement de la sienne, a peine plus large, au ongles impécable, mais légérement rapeuse, comme des main de travailleurs

"enchanté Joy. Moi c'est Arthur."

Il remarqua qu'elle avait semblé triste de vivre dans se petit appartement:[i]

"et pourquoi ne pas troquer votre studio contre une petite caravane et le monde ?"

Tout comme Arthur elle apporta la cigarette maintenant allumer jusqu'a ses levre et en respira une bouffée. Lentement elle expira et la fumée sortie de sa bouche en un tres long et continue jusqu'a la fin. Puis Arthur lui dit qu'elle ne le bassinait pas avec sa vie, se qui la fit sourire une nouvelle fois montra de belles dents blanches parfaitement alignés.

- Finalement je ne sais pas si c'est une bonne chose de vous rencontrer si vous me tuez a petit feu ... sans le vouloir .

Elle lui adressa une nouvelle fois un sourire puis l'écouta se presenter.

- Je suis tout aussi enchantée que vous Arthur ! Je dois avouer que c'est assez rare de rencontrer des gens comme vous qui semblez aussi ...sympathique du moin pour le moment !

Il lui parla ensuite de son appartement en lui demandant pourquoi ne pas changer de vie .

- Si c'était aussi simple que sa je ne serais pas ici a vous parlez ! Je ne pense pas pouvoir quitter aussi facilement. Je ne peux pas dire non plus que quelque chose me retien ici , mais peut-etre es-ce que je n'aime pas me retrouver dans un endroit inconnu et de vivre au jour le jour. Il est vrai que souvent je reve de partir loin et d'oublier un peu la misérable vie que je mene mais je n'est jamais eu l'opportunité de faire quoi que ce soit !

Meme si sont pouvoirlui permettait de faire pas mal de chose puisqu'elle était capable de se changer en n'importe qui que ce soit etre humain ou animal, mais comme elle le disait rien ne l'avait encore pousser a changer de vie. Elle voulait juste savoir se qui lui arrivait vraiment, mais elle gardait cette question pour une personne qualifié et digne de reel confiance.

- Bon fini de parler de moi, dit moi un peu de chose sur vous ! Vous voyager beaucoup ?

Elle était assez curieuse de savoir comment il vivait et se debrouillait pour trouver de l'argent elle se dit que soit il fesait des petits boulots soit il possedait deja une fortune personel.

"enfin je ne vous est pas non plus mit le poison entre les lévres."

Dit-il avec un sourire amusé ce défendant d'étre un meurtrier, ce qu'il été pourtant devenue quelques jours auparavant, mais la culpabilité l'avait plus assaillie quand il avait assomé et dépouillé Jarvis de ses vétements que lorsqu'il avait ressérrer ses mains avec dix empreintes différentes autour du coup de son soi disant pére adoptif.

Il accueilla le compliment avec un hochement de téte et en répondant humblement:

"c'est rare car on se cache des le métro...non en réalité je pense plutot que les gens se renferme dans une carapace dés qu'ils sortent de chez eux, et comme moi je suis chez moi partout, je suis plus rarement dans une carapace."

En réalité étant sans réelle foyer depuis quelques temps il passais son temps dans une carapace, étant comme une sorte d'iceberge ne laissant dévoillé de lui que son sourire et ses traits d'esprit, la mauvaises humeur et la colére se trouvant trop profond pour étre visible de première abord.

Elle lui expliqua pourquoi elle ne courais pas les routes et il acquiessa, compréhensif

"le jour ou l'envie seras trop forte vous partirez, mais sinon c'est peut étre que vous avez encore des choses a accomplir ici. Ou peut étre des gens on besoin de vous."

N'étant pas trés spirituel Arthur pensais a des choses comme des dettes, une maison, un travail, et des personnes comme des enfant ou un mari. Mais entendue comme sa il aurait aussi bien put parler du Destin avec une majuscule, celui qui refute la notion de libre arbitre lui étant si chère.

Finalement elle revint a lui posé des question et il répondit avec un sourire:

"j'ai rouler ma bosse un bon bout de temps pendant que j'était plus jeune, puis je me suis posé un moment, et a présent je retourne sur les routes avec le Texas en point d'ancrage. J'ai fait tout les états unis d'amérique bien sur, mais aussi une grande partit de l'europe et les plus grande ville d'Asie. Mais finalement je finie toujours a échouer soi la ou je suis née soit la ou je m'été déja reposé un temps. Je suis un peu comme les saumon en réalité."

Pierre avait froid et la son corp le faisait souffrir d'un peu partout, alors qu'il arrivait en vu de la station de metro. Il avait passer une soiree comme les autres, il etait sortit tot pour pouvoir participer aux combats du soirs car depuis un moment personne n'avait fait appelle a ces services, il devait donc gagner un peu d'argent. Le combat etait un moyen rapide et sur, jusqu'a maintenant il etait toujours arriver a gagner sans trot de difficulter, autant dire jusqu'a ce soir la.
Le combat avait bien commencer, il avait le dessus mais au bout d'un certain temps Pierre avait finit par remarquer que son adversaire ne ripostait pas et au moment ou il baissa un peu trot sa garde, le combat s'etait retourner, et il avait ete en mauvaise posture, allant jusqu'a utiliser son pouvoir pour paraliser l'autre, mais cela n'avait pas eu d'effet alors dans un exces de panique il avait briser la nuque a son adversaire. Tout s'etait precipiter et il n'avait eu d'autre solution que de s'enfuir, il etait deja bien meurtrit par le combat et quand les autes comprendraient que son adversaire etait mort ils les auraient sur le dos.

Sa premiere idee avait etait une fuite a pied, mais il tenait a peine debout alors se presenta a lui, le metro. Il s'y dirigeat d'un pas peu sur, et finit par appercevoir deux personnes qui semblait discuter. Il s'arreta et s'appuya a un poteau regardant souvent autour de lui pour regarder si on ne l'avait pas suivit, mais il ne pouvait appercevoir personne a part les deux en, train de discuter et qui fumaient.
Il regarda ses mains, elles tremblaient, il n'arrivait pas a se calmer. Le combat avait ete truquer, ce n'etait pas la premiere fois, mais la quand meme. La drogue devait etre drolement forte pour que l'autre resiste a son pouvoir. En plus de ca, il avait perdu sa soiree, pour rien, il etait partit tellement vite qu'il n'avait pas prit l'argent.

Enfin il se decida a se deplacer vers les seuls personnes dans le metro, le premier etait un homme habiller d'une maniere bizarre, il lui semblait familier, et la seconde etait une femme, assez jolie. Lui il etait assez mal habiller, avec sa veste en cuir fermer, son jeans et ses rangers. Il avait perdu son bonnet et n'avait pas eu le temps de recuperer son T-shirt. C'est donc en tentant de cacher son visage tumefier, meme si avec l'angle qu'il avait prit, il etait possible de voir un leger filer de sang sur son visage:

-Scuser moi, z'en auriez pas une pour moi siouplait?

Pierre cachait son visage en esperant qu'il n'y ferait pas trop attention, et que sa voie n'avait pas etait trop deformer par ses levres gonfler. De par la meme il tentait de controler le tremblement de sa mains tendu, meme si le resultat n'etait pas vraiment concluant.

tandis qu'il continuait de discuter avec sa charmante compagnie une voix légérement rauque fit se retourner Arthur. Il faillit laché un juron,orsqu'il reconnue un gamin avec qui il avait déja eu affaire. Mais il se retient, se rapellant que si lui avait reconnue se gars, son visage n'était plus le même, donc cela n'avait rien de réciproque.

Tout naturellement Arthur sortit son paquet, comme si il n'y avait pas de dire non a un clochard dans le métro, mais sachant parfaitement que le gars en face de lui n'avait rien d'un clochard.

Lorsque Pierre saisit la cigarette Arthur remarqua ses mains tremblante au articulations rougies par les coups, et aux doigt parsemé de quelques taches de sang a peine séchés. Il fronca les sourcils et observa plus attentivement le gamin: les ranger légérement abimées, le jean salie par de la boue et du gravier ainsi qu'encore un peu de sang, les coudes de veste abimés, mais surtout le visage: lévres ouvertes avec un filet de sang allant jusqu'au creu du cou, un méchant hématome violacé sur la joue, et surtout un terrible cocard lui fermant quasiment l'oeil.

Avec un ton poli et inquiet Arthur demanda en tendant le briquet:

"vous étes sur que sa va aller jeune homme, parceque cet oeil au beurre noir mériterai des glacons et un peu d'arnica, sinon votre paupiére va triplé de volume d'ici quelques heures, et vous allez souffrir le martire."

Dans sa téte il ne put s'empécher de pensé:

*ce gamin, a chaque fois que je le voit il est ou fini en sang.*

Il se rapella lorsque, travaillant ensemble pour voler une cargaison d'héroine, a l'époque ou Arthur avait absolument besoin d'argent, que les gardes les avaient repéré mais que Pierre, plutot que de fuir, leur avait foncé dessus et les avait mit or d'état de nuir avec violence, brutalité...mais une terrible éfficacité. Il s'em était sortit avec une plaie au crane et le même genre d'hématome.

"les clopes sont a la vanille, j'éspére que vous aimez, mais si votre joue est abimé a l'intérieur vous allez souffrir."

Et surtout résté poli, naturelle, distant comme si on ne le connais pas...difficle. mais avec son pouvoir Arthur a finit par s'habituer a connaitre des gens sans que ceux ci ne le sachent.

Il tente de chercher l'aspect sous lequelle la rencontrer le mec a coté de lui: même genre de fringue, mais son visage devait étre plus agé, et plutot celui d'un hyppie barbu et chevelue.

Pierre prit la cigarette que l'inconnu lui tendait, il eu un peu plus de mal pour l'allumait a cause de ses tremblements et il etait sur que l'autre l'avait remarquer. La question qui suivit peu apres le lui confirma.

Il repondit de facon brusque, car il n'allait pas raconter sa vie a quelqu'un qu'il ne connaissait pas, mais en se rappelant la cigarette il remercia quand meme l'homme:

-Ca ne vous regarde pas, melez vous de vos affaires.... Heu, merci quand meme pour la cigarette.

La reflexion sur le gout des cigarette le surpris un peu, il tira donc une longue bouffer pour essayer et le gout ne lui parut pas desagreable, c'etait un peu etrange mais plaisant. Cela eu au moins le merite de calmer un peu ses inquietude et avec cela ces tremblements.
Pierre se dit qu'il pouvait retourner attendre le metro un peu plus loin, et c'est dans cette intention qu'il avait commencer a partir. Seulement ces jambes refuserent de lui obeir et pour ne pas montrer cette instant de faiblesse, il se laissa aller contre le murs a un pas de l'homme. Il s'assit la en fumant, il demanda quand meme, en sachant deja que quelque soit la reponse il ne bougerait pas:

-Ca vous derange pas si je reste ici, pour attendre le metro? Mais si vous preferer rester entre vous, je comprendrai.

Il ne prit pas la peine d'ecouter la reponse, contemplant le bout de sa cigarette, il avait l'etrange impression que les deux autres l'observait. Mais etait ce vraiment cela? Il commenca a etre inquiet, mais ne le laissa pas montrer, il avait l'habitude de se genre de situation, se mefier des gens etait dans sa nature. Mais cette fois ci, il n'avait pas le choix.